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Qu’est-ce-que la capsulite rétractile, ou épaule gelée ?

Capsulite rétractile, voici un nom qui intrigue. De quoi peut-il bien s’agir ? C’est le rhumatologue qui aura la réponse et c’est bien souvent lui qui pose le diagnostic. Tout commence avec une douleur dans l’épaule. Puis l’articulation devient complètement raide. Impossible de bouger l’épaule pour lever le bras ou effectuer une rotation. La douleur est insupportable et la personne affectée sent bien que, de toute façon, ça bloque. Des gestes du quotidien comme enfiler une veste ou attraper quelque chose dans un placard en hauteur deviennent très douloureux, voire impossibles. En somme, l’épaule est gelée. C’est d’ailleurs le nom simple de la capsulite rétractile, l’affection qui cause cette raideur au niveau de l’articulation.

La capsule dont on parle ici, c’est la capsule gléno-humérale. Cette membrane fibreuse et élastique ferme la cavité articulaire située entre l’omoplate et l’humérus. Lorsque tout va bien, la capsule laisse l’épaule lâche. C’est ce qui nous permet de réaliser les divers mouvements cités plus haut. Mais, en cas de capsulite rétractile, la membrane s’épaissit et adhère à la tête de l’humérus. L’épaule est complètement gelée.

La bonne nouvelle, c’est que la capsulite rétractile est une affection bénigne. C’est-à-dire qu’on en guérit. La mauvaise nouvelle, c’est que le processus de guérison est lent : entre 9 et 36 mois pour une rémission complète.

Alors pourquoi cette capsule se rétracte-t-elle et comment va-t-on traiter cette affection ? C’est ce qui nous reste à aborder.

D’où vient la capsulite rétractile ?

Actuellement, les médecins n’ont pas d’explication unique et arrêtée sur les origines de la capsulite rétractile. Ce que l’on connaît, en revanche, c’est le profil des personnes atteintes. On sait que la capsulite rétractile touche en majorité les personnes âgées de 40 à 60 ans, et plutôt des femmes. En cas de trouble thyroïdien, de diabète ou de maladie de Parkinson, les risques sont accrus.

Les rhumatologues ont également observé que la capsulite rétractile intervenait aussi régulièrement après une immobilisation, par exemple suite à une chirurgie, une longue hospitalisation, etc.

La capsulite rétractile peut également découler d’un trouble bénin, comme une tendinite. Et, là, tout le monde est susceptible d’être touché. Mettons que vous ressentez une douleur à l’épaule, apparentée à une tendinite, et que vous ne vous faites pas soigner. Pour continuer vos activités, vous allez essayer de bouger l’épaule le moins possible, en vous disant que cela finira par passer. En réalité, c’est en limitant l’amplitude de mouvement au niveau de l’épaule que les tissus autour de la capsule gléno-humérale vont s’épaissir et se contracter. Un vrai cercle vicieux se met alors en place : plus vous avez mal, moins vous bougez, et plus la douleur augmente. Quelques jours ou semaines plus tard, la capsulite rétractile est là. Morale de l’histoire ? Ne jamais laisser une douleur s’installer.

Comment guérit-on la capsulite rétractile ?

Pour guérir de la capsulite rétractile, il faut avant tout la diagnostiquer. Les patients se rendent généralement chez leur médecin généraliste pendant la phase algique, où la douleur est constante. S’ensuit un rendez-vous chez un spécialiste, généralement un rhumatologue, qui posera le diagnostic. Pour soulager la douleur, anti-inflammatoires et infiltrations peuvent être prescrits.

La phase suivante est celle de blocage : les symptômes douloureux diminuent mais la mobilité ne revient pas. Des séances chez le kinésithérapeute seront alors prescrites pour débloquer l’articulation. Jusqu’à la phase de récupération fonctionnelle, où la raideur articulaire devient indolore et où le patient récupère petit à petit son amplitude articulaire. Les séances de kiné se poursuivent jusqu’à rémission complète.

Le temps nécessaire varie en fonction des personnes et de la phase durant laquelle le diagnostic a été posé et le traitement démarré.

Soulager la capsulite rétractile de manière naturelle

La physiothérapie est donc la meilleure manière de soigner une capsulite rétractile, puisqu’il va s’agir de retrouver de l’amplitude au niveau de l’articulation. Mais, pour soulager la douleur et accélérer le processus de guérison, des solutions naturelles existent. C’est pourquoi le Laboratoire Oriames vous propose son pack Capsulite, composé de deux produits naturels et efficaces Soulagyne+ et Orialgic avec 95% de satisfaction client.

Soulagyne+ est un anti-inflammatoire naturel, composé d’Ulvaline, Harpagophytum, Saule blanc et Vitamine C.

L’Ulvaline est une algue riche en antioxydants qui a été choisie pour ses effets analgésique et anti-inflammatoire. Sa richesse naturelle en vitamines C et E vient compléter ses vertus pour protéger les articulations et apaiser les douleurs.

L’Harpagophytum est une plante surnommée la « griffe du diable » en raison de ses fruits aux épines crochues. Présent naturellement dans le désert du Kalahari, il est maintenant cultivé pour pouvoir être exploité de façon durable, sans porter atteinte à l’environnement. L’Organisation Mondiale de la Santé, ainsi que les instances européennes de la santé ont reconnu ses capacités à traiter les douleurs articulaires dans leur ensemble, et plus particulièrement les douleurs rhumatismales et les inflammations chroniques dues à l’arthrose.

Pour finir, l’acide salicylique contenu dans l’écorce de saule complète la composition de la Soulagyne+. Comparée à une aspirine végétale, naturelle et sans effets secondaires, la substance extraite de l’écorce de saule constitue un remède apaisant pour les douleurs articulaires provoquées par l’arthrose et les rhumatismes.

La Vitamine C augmente l’absorption et l’assimilation des actifs au niveau intestinal.

Orialgic® est une huile thérapeutique biologique dont l’application par massages doux et prolongés sur la zone douloureuse a pour effet immédiat d’apporter un confort articulaire indéniable et un gain en motricité.